Bonjour,
C'est assez dire, à la lecture des précédentes interventions, que nous sommes, en dépit de la crise, des pays riches.
Il y a une quarantaine d'année, le Burkina-Faso (la Haute-Volta, pour les colonialistes attardés), s'était doté d'un Président qui roulait en 2 chevaux Citroën, et qui n'avait comme économie sur son compte épargne, au moment où on l'a tué 350.000 francs soit à peu près , 3.500 Nouveau Francs ou, aussi à prés, 500 euros. Il n'avait jamais participé au moindre G7, 8 ou 20.
Mais la richesse d'un pays se voit aussi au nombre de bouches à nourrir.
Lorsque chaque, ou presque citoyen, se permet de nourrir un nombre exponentiels de chiens, chats, oiseaux, chevaux, ânes, lapins nains, rats, hamsters (c'est la même chose), souris et serpents. Qui occasionnent avant tout des dépenses.
L'on peut en déduire que cette nation qui entretien de tels citoyens est riche.
"Je voudrais, disait un dirigeant africain, que le moindre de mes concitoyens arrive, un jour, a être aussi bien nourris que le plus misérable de vos animaux domestiques".
Le doute est ma seule certitude