« cas Sarkosy relève d'une vraie étude psychiatrique »
Parce que la drogue, ça ne relève pas de la psychiatrie peut-être ???
A-INTRO :
-Les faits : Sarkozy est hyper impulsif, mégalomane, autoritaire, colérique, « speed ».
-2 hypothèses possibles :
-l’hypothèse différentielle : en gros, c’est sa personnalité. L’homme est colérique, mégalo, parano, hyperactif et c’est comme ça.
-l’hypothèse « drogue » : ses comportements sont accentués par la prise de cocaïne.
B- l’hypothèse d’un président cocaïnomane :
Nous ouvrons un livre genre « drogue, savoir plus pour risquer moins » pour recenser les effets de la coke et voir si nous les retrouvons chez Sarko. La cocaïne produit :
- des lésions perforantes de la cloison nasale. Or Sarko se mouche tout le temps. On a l’impression qu’il a une rhinite permanente ! Voyez les vidéos en ligne des webnautes :
http://www.wat.tv/video/video-sarkozy-cocainomane-itx8_2ey9n_.html
http://www.azzedinejamal.com/blog/azzedine/jamal/nicolas-sarkozy-tony-montana-carla-bruni-est-claire-arrete-mon-pepito-compte-les-chomeurs-ca-va-taider-a-dormir/
-Des troubles du rythme cardiaque pouvant provoquer des accidents cardiaques. Or Sarko a eu un accident cardiaque le 26 juin 2009, assez étonnant vu la bonne condition physique de notre homme et le fait qu’il ne fume, ni ne boit…
-des délires paranoïdes : l’acharnement sur Dominique de Villepin montre une nature foncièrement rancunière mais également paranoïaque.
-de l’insomnie et des amnésies en phase d’excitation. Cecilia, l'ex de sarkozy, a écrit dans son livre :"Il y a les nanas qu'il saute et dont il ne se rappelle même plus le prénom » !
-l’absence d’inhibition ce qui peut le pousser à des violences non contrôlées (« Casse toi- pôv con ! » et ses crises de colères sont assez bien décrites par les journalistes politiques) , des dépenses compulsives (l’homme aime les chopping, le bling bling et les grosses dépenses inutiles) ou des activités sexuelles répétées (voir insomnie).
-sensation de toute puissance : no comment.
-hyperactivité : no comment.
Rumeurs :
-Apathie et Guillon auraient émis des allusions ambiguës sur la prise de cocaïne de notre président lors de son voyage au Mexique.
-Nicolas Bedos aurait nommé Nicolas Sarkozy « VRP cocaîné »
-Medvedev a dit de Sarkozy que c’était un « lapin cocaïnomane »( l’express )
Eléments à charge :
-Il a quand même épousé une mannequin qui en connait long question rail de coke..
-Amour morbide pour le show-business, les nuits interlopes et les soirées bling bling de la jet set où la came coule à flot, ne l’oublions pas…
Question : comment ferait-il entrer la drogue à l’Elysée ?
Il y’aurait justement une étrange affaire ou un flic de l’Elysée aurait été pris en possession de coke. A creuser car les infos sont introuvables sur le Net.
Mais mon petit doigt me dit que si telle affaire a eu lieu, on peut faire confiance au mass-média pour l’étouffer. A l’instar des pulsions sexuelles de DSK, il se peut que les journalistes fassent leur propre auto-censure, comme au bon vieux temps du cancer terminal de Mitterrand.
C-L ‘hypothèse différentielle (personnalité) : on potassera alors les études de profilage du FBI sur la question.
Deux sous-possibilités :
-Sarko est maniaco-dépressif. Ce serait assez classique eu égard le fait que de nombreux hommes politiques ont été touchés par cette maladie (Churchill, Roosevelt, etc.). Mais la CIA dans ses notes n’en parle pas…
-Personnalité impulsive et hyperactive: c’est la thèse de la CIA : Sarko est un narcissique à tendance compensatoire.
Dès son plus jeune âge, Sarko était un gosse bagarreur et colérique. Cela relève donc d’un trait de tempérament. Or les psy savent que ce genre de sale gosse doit bénéficier d’une éducation stricte si on veut adoucir ses comportements.
Or la mère de Sarko a été très « libérale » en manière d’éducation. La sale graine a pu alors se développer en une personnalité colérique et autoritaire. Contrairement à ce qu’il prétend, il n’a pas manqué d’affection dans son enfance mais il avait un talon d’Achille : il était nul à l’école ; ce qu’il ressentait comme une humiliation personnelle et une blessure à son narcissisme. C’est la base de son complexe d’infériorité et son désir d’atteindre les plus hautes sphères .Or l’exemplarité dans la réussite passe dans la société française par la réussite scolaire ! Pauvre sale gosse ! On le plaindrait presque !
De plus, il était de taille plus petite que ses camarades, ce qui en faisait l’objet de quolibets. Pauvre sale gosse !
Pétri de complexes, il décide de les compenser par une haute estime de soi (il croit ne jamais se tromper ! c’est toujours la faute des autres ! ) et par un coté intrépide et courageux que l’on doit bien souligner !
Ce côté intrépide va avec un autre de ses atouts : son hyperactivité. Adulte, il va devenir accroc à la célébrité, sans doute initié à ces plaisirs par ses mentors, Pasqua et Grossman. L’homme est également un hyper-anxieux, ce qui l’amène naturellement à subir des dépressions réccurentes. La CIA ne parle pas de trouble bipolaire chez notre président.
Conclusion :
Nous devons admettre que la CIA étant bardé de chercheurs de plus haut point, l’hypothèse différentielle d’un narcissique à tendance compensatoire dans l’hyperactivité et l’impulsivité est sans doute la meilleure…Toutefois, cette hypothèse n’est pas en contradiction avec l’hypothèse drogue. Parce que l’homme est un hyper-anxieux naturel, il se peut que, lorsque l’esprit est assailli de ruminations, il n’ait besoin de quelques remontants pour ressentir ce sentiment de tout puissance dont il est accro… Les hypothèses drogue et différentielle seraient alors en parfaite harmonie, l’un accentuant l’autre !
"Ne prenez pas la vie trop au sérieux. De toute façon,vous n'en ressortirez pas vivant!"