Liens commerciaux
Qui a dit l'homme est un loup pour l'homme ? c’est le grand philosophe anglais Thomas Hobbes ! qui aurait repris cette citation de Plaute.
Thomas Hobbes a écrit une œuvre majeure, le Léviathan, qui a été publiée en 1651, le Léviathan, est un traité de la matière, de la forme et du pouvoir ecclésiastique et civil, qui fait la part entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel.
Thomas Hobbes, pensait que l’ordre social devait reposer sur la coopération plutôt que sur la force autoritaire.
Thomas Hobbes était né à Westport, en Angleterre, le 5 avril 1588, il est mort à Hardwick Hall dans le Derbyshire en Angleterre, le 4 décembre 1679, il était le fils d'un ecclésiastique protestant.
Thomas Hobbes a écrit en 1640, Les éléments de la loi naturelle et politique et De la nature humaine, en 1642, Du citoyen ou les fondement de la politique, en 1651, Léviathan, en 1654, De la liberté et de la nécessité, en 1655, Du corps politique, en 1668, Béhémoth. Hobbes traduisit aussi Il en vers anglais « L' Iliade et l'Odyssée » d'Homère.
Hobbes était partie de l’idée que l'homme est un loup pour l'homme, il en avait déduit que l’être humain était sociable par accident et non par nature, que tous les êtres humains recherchaient sans cesse leurs intérêts personnels, par l’égoïste, que pour cette raison l’homme n’hésitait pas à rentrer en conflit avec les autres, pour en tirer bénéfice ! Cette notion, fut étendu par Hobbes sur les nations qui sont motivées par la quête du pouvoir. Hobbes pensait que la démocratie ne pouvait fonctionner et voyait la monarchie comme le meilleur type de gouvernance.
Hobbes rencontra quelques uns des plus beaux esprits de son temps, Galilée, Descartes, Gassendi et Bacon, il fut aussi le précepteur du jeune Charles II d’Angleterre. A 84 ans, Hobbes a rédigé son autobiographie, en vers latins.
Vous savez maintenant qui a dit, « l'homme est un loup pour l'homme », c'est Thomas Hobbes. De nos jours l'homme est toujours un loup pour l'homme, rien n'a changé, l'homme est un loup pour l'homme, pour la quête du pouvoir, de l'argent, etc... Triste constatation de la société libérale.